Relatif au sanctuaire grec d'Épire, où les oracles de Zeus étaient interprétés à partir du bruit que faisait le vent dans les feuilles des chênes.
Dôdônè Δωδώνη
Nom du sanctuaire.
De grands noyers, puis d'immenses peupliers, à la tige toujours allante et venante, qui ont l'air de prendre dans leurs tiges tout le vent du pays; des salutations perpétuellement balancées dans une perpétuelle harmonie dodonéenne.
Août 1858.