Spécialiste du Japon.
nipon
Aussi le directeur du musée, à l'époque Georges Salles, un brillant japonologue, me demanda de recevoir le prince dans mon Département. [...] le jeune prince était contraint d'écouter mes commentaires que l'on m'avait priée de prononcer en anglais, mais que son ambassadeur lui traduisait simultanément en japonais. Après m'être informée auprès du chef du protocole, j'appris que le fils de son Altesse impériale comprenait fort bien l'anglais, mais que, seule, la langue de l'Empire du Soleil levant avait le droit de toucher le tympan du prince.