Pose reproduisant les ondulations du serpent.
serpens
Je ne sais rien de plus cruel que ce dessin de femme, grosse, courtaude, aux chairs rondes et soufflées, qui s'appuient les mains sur des fesses énormes. La tête est petite, les jambes sont arquées, un peu cagneuses, les bras minus, bêtes, des bras de bébé, que termine une main potelée, courte, attachée dans un bourrelet de graisse. Les amateurs de chairs nacrées, de serpentements félins, n'ont rien à faire devant les dessins de M. Degas.