Encens d'Arabie.
Ce qui l'enivrait, le délectait, le désopilait, saboulait son âme de délices et répandait en toute sa personne le benjoin ou l'oliban des béatitudinaires langueurs, c'était de toucher à peine, de palper infiniment peu, de promener çà et là [...] son appareil de tactilité [...].